Un premier « vrai » parfum...
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 1 heure
Bonjour cher camarade oui, c’est ma passion ma mère était vendeuse en parfumerie pendant l’âge(…)
il y a 6 heures
Bon, je m’y colle, bien que pas spécialiste du tout. Je dirais que c’est possible, mais il est(…)
il y a 16 heures
Malheureusement Gardénia Passion vient d’être supprimé. Une honte...
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Essai après essai, rien ne détrône l’Eau de Narcisse Bleu !
J’ai pourtant fait une orgie de mouillettes chez Goutal (Eau d’Hadrien, que je pourrais porter lorsque j’ai envie de beaux agrumes juteux, Nuit étoilée, une odeur douce et enveloppante bleu-mauve onirique, mais que j’aime quand même moins que EdNB, Ninfeo Mio, surprenant avec cette figue qui à mon nez fait presque coriandre, mais qui devient un peu écœurante à la longue, Eau du Sud, festive et légère, qui à mon nez, laisse filtrer un peu de coco sous une tête de pamplemousse, Un Matin d’orage, rond, frais et sensuel, mais un peu trop entêtant pour moi), un bel univers de parfums qui racontent chacun leur histoire, une histoire jamais ennuyeuse, toujours différente, mais rien qui ne me va comme un gant pourtant.
Je pourrais m’imaginer porter l’Eau de Cartier pour une entrevue : fine, discrète, évoluant vers le boisé... pas de grandes émotions, mais de l’élégance, oui. J’ai trouvés Essence de Rodriguez et Néroli Sauvage de Creed bien mais pas transcendants. Il faudra voir sur la peau si l’histoire est plus palpitante (mais quel superbe flacon minimaliste et pur il a, Essence ! Je voudrais l’aimer à la folie juste pour ça).
Chez Diptyque, J’ai essayé un Néroli et un Vétiver dont les notes de fond se sont révélées trop masculines à mon gré ; L’Eau de Lierre est d’un réalisme de feuillage froissé saisissant. Je suis assez curieuse de l’essayer sur la peau, pour le plaisir de l’expérience plus qu’en vue d’un achat.
Un Jardin après la mousson, quelle créature unique et fascinante ! Autant j’aime le sentir sur moi, autant je ne pourrais pas m’imaginer le porter car il n’est pas un bon ambassadeur de mon tempérament. Je compte faire un essai sur peau de son plus sage cousin Un Jardin sur le Nil, fort agréable sur mouillette et qui pourrait me convenir les jours où je veux juste me sentir féminine et agréable sans trop me dévoiler (car enfin, bon, ça n’a pas la personnalité d’une EdNB... ok, ok, j’arrête).
Je pourrais très bien m’imaginer porter L’Été en douce chez L’Artisan Parfumeur, qui porte si bien son nom, durant la saison chaude. Un voile diaphane et ensoleillé, qui semble inviter à se rapprocher pour le sentir de plus près et se laisser envahir par mille beaux souvenirs de vacances. C’est tout ce qu’on veut les jours de canicule, il me semble, une belle odeur légère, intime, et de saison, qui ouvre l’imaginaire sans intoxiquer les passagers d’une rame de métro bondée à quarante Celsius.
J’en conclus que je risque fort de commencer ma vie parfumée avec l’Eau de Narcisse Bleu... et que cette recherche de premier parfum risque fort de se transformer en recherche de second parfum... Quel plaisir !