Bois d’Ascèse
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
hier
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour à tous,
Je te remercie Youggo pour ton article sur Bois d’Ascèse, car je pense que tu m’as fait découvrir un de mes parfums d’hiver préférés. Bon, je l’ai trouvé sur le site Nose, qui apparemment est kitch-hype (sincèrement, je m’en moque, partisane du pragmatisme-je prends là où je trouve). J’ai bien aimé ta comparaison d’un homme des bois en dandy, car c’est un peu ce qu’il m’inspire.
Le jus : la note de tête, la primaire pour moi n’est pas fumée, mais métallique, cela me fait penser à la grille d’entrée en métal d’un cimetière de village ardennais (ben le mien) battu par les pluies et le vent. Ensuite, effectivement, je sens bien les notes fumées, pas acres, ces cendres froides que décrit AdRem, je trouve ces notes (attention, je m’emballe) mystiques. Il y a quelque chose de doux et d’un peu païen dans cette senteur là. Le fond du parfum ne m’évoque rien de plus, juste cette douceur fumée qui peut paraître rustique et élémentaire à certains, alors qu’elle m’évoque justement beaucoup de profondeur spirituelle.
Bravo au nez qui l’a créé, pour l’élégance charbonnée et la volonté de son parti pris.