Bruxelles n’aime pas le parfum
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 16 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
hier
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Bonjour tous !
Je suis assez d’accord avec Tambourine, la notion de patrimoine ne touche pas grand monde, et c’est plutôt du côté du porte-monnaie des marques qu’il faudrait agir...
Seulement, j’ai l’impression que les gens qui pourraient être sensibles à notre démarche sont des gens qui à la base n’achètent pas des produits très en vue...et que la consommatrice de lveb donc, continuera à engraisser le mastodonte de toute façon !
C’est vraiment épineux cette question...après, effectivement les gens recherchent les matières naturelles, et là peut-être qu’on pourrait communiquer sur le risque du tout chimique.
On peut bien sur faire un texte et le relayer sur les blogs, pages fb. Et lancer une pétition. Mais ce qui pourrait être bien c’est d’avoir un relai dans la presse. On a tous plus ou moins des contacts qui pourraient donner un peu d’audience à tout cela...
Bref, c’est juste rageant d’assister à tout cela et de rester impuissant, mais il faut trouver la bonne façon d’agir et ce n’est pas simple...