CK Be
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
" et ne plaira jamais à personne"
J’avais au contraire beaucoup aimé CK Be, qui m’a initié aux notes goudrons. Pour moi, ce parfum et son grand frère restent indubitablement lié aux début d’internet, à la tendance cyber (avec la superbe campagne Vuitton avec le mannequin a la chevelure gris argent ou à l’époustouflante pub tv Gaulthier très cyborg ou dans un autre registre le clip de Fast Love de George Mickael).
Pour moi Ck Be etait le pendant "dark net" en opposition "clear net" de Ck one. Le second se portant sagement en journée, ne genant pas le reste de la classe, comme un message en sourdine. Le premier restant pour moi associé aux freeparty, aux pentests et a un coté bien plus cypher / subversif.
Mais au final, l’un comme l’autre restent des parfum très marqués par leur époque ; avec une logique de chronologie et de contexte (informatique et innovation desexualisant l’utilisateur ; arrivée des parfum mixtes, etc) qui n’exite plus réellement aujourd’hui et sont aussi hermétiques pour un jeune de 20 ans techno-native que peut l’être pour une trentenaire les histoire hippy de ses parents, teintée de santal et de patchouli.