Vanille Galante
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai, pour ma part, été vraiment déçue de cette dernière création. J’ai trouvé le départ assez vert et un peu agressif avec un arrière-goût de banane pas mûre qui vous laisse une impression de pâteux dans la bouche.
La facette épicée est présente sans l’être, et l’aspect culinaire (même s’il est brillament travaillé ici) couplé au lys me dérange franchement. Vanille Galante n’est pas ratée, n’est pas grossière, contient la patte de Jean Claude Ellena, mais je ne la trouve pas réussie. C’est d’ailleurs avec ce dernier opus que j’ai compris ce qui me dérangeai dans ses parfums.
Beaucoup de ses créations me plaisent, et même presque toutes (à part First) et pourtant, à chaque fois, quelque chose manque. Il s’agit ici exclusivement d’une affaire de goût, mais je trouve que les parfums de Jean Claude Ellena ne transportent pas d’émotions. Le fait de décortiquer, épurer, tailler dans les matières pour les rendre plus légères ou plus transparentes me donne l’impression qu’on les a passées à la Javel. Elles ont perdu de leur substance, et ainsi, ce qui les rendaient singulières et uniques. J’admire pourtant son style et la beauté de ses créations, mais rien ne m’émeut vraiment, et j’ai même parfois la sensation qu’il s’écoute trop. En tout cas c’est ce que j’ai pensé en découvrant Vanille Galante.