Dolce & Gabbana lance Dolce
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Moui.....si c’est dans la lignée de chewing-gum et chewing-gum intense...
J’ai sorti de mes boîtes à trésor un échantillon de Sicily...oh que c’était beau, cet équilibre entre les notes savonneuses et orientales douces, avec un petit twist végétal. Une élégance sensuelle, une femme de chair et de sentiments, le visuel était superbe et cohérent, ça c’était un merveilleux travail....
Cela a été écrit ailleurs, mais je commence à ne plus bien supporter les discontinuations à répétition de la part des marques. Renier ses propres créations, c’est à la fois mépriser le public, occulter toute la dimension émotionnelle, l’attachement que les gens développent auprès d’une odeur. C’est aussi se rabaisser au rang de simple fabricant de sent-bons interchangeables dénués de toute expression. Blurp. ( renifle Insolence sur son autre poignet pour se consoler, puisque celui-là au moins on le trouve !)