Maroussia
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonjour Arpège, quel joli choix de pseudonyme.
Bienvenue sur auparfum.
Merci pour le choix de ces mots quant au double hommage que je souhaitais réaliser, à ma maman mais aussi et surtout à ce parfum qui mérite bien un peu plus de considération que celle qu’il connaît sur les étagères des supermarchés.
Afin de parvenir à effectuer l’analyse de la distanciation entre mère et femme avec le message plus ou moins implicite du jeu de séduction qu’implique ce parfum, il me fallait également parvenir à maintenir une distanciation entre l’enfant que j’ai été et l’adulte qui a rédigé la chronique. En fait, le plus important pour moi était, comme à chaque fois, d’être le plus "juste" possible. Ni réaliser une critique positive de Maroussia car ma mère l’a porté, ni me refuser à le faire pour le même prétexte.
Au final, ce parfum est bien assez intéressant, ou, plutôt, était bien assez intéressant probablement, pour qu’il soit légitime d’en discuter un peu.
La description de cette amie semble être une idéale personnification de tout ce que représente ce parfum. Effectivement, il est probable que beaucoup éprouvent le sentiment que la distribution de Maroussia en grandes surfaces "tue le charme" un peu. Mais, en même temps, aujourd’hui, quand je vais dans un Sephora, je ne rêve plus du tout entre les 7000 néons, la techno-pop vulgos, le langage ambient autour. Finalement, le rayon des produits pour le corps des grandes surfaces est devenu plus calme et élégant presque que ces "environnements du luxe"... #maisbienentendu LOL
L’hiver est, indéniablement, la saison - cliché qui va bien à Maroussia. Une toque en fourrure et quelques généreux pshitts. ^^
Malheureusement, le découvrir sera difficile, à l’image d’Opium. Tous deux sont encore beaux. Mais, davantage car il est difficile de massacrer de telles beautés et de les laminer que parce qu’ils épatent et étonnent toujours, fantômes qu’ils sont devenus de leur gloire passée...
Malgré tout, la découverte de l’un ou l’autre est toujours largement méritée ; en effet, ils restent très loin devant les choses médiocres si ce n’est minables que l’on présente aujourd’hui sous le prétentieux nom de "parfum"... ^^
A propos du message laissé en sus juste au-dessus, des fleurs d’oranger poudrées et sensuelles pourraient être celles que je cite dans le texte, 24 Faubourg, Van Cleef (très intéressant, toujours en vente, et que j’adore), Séville à l’Aube et Fleur du Mâle surtout (même s’il semble qu’il soit en cours de discontinuation celui-ci aussi). APOM pour Elle de Francis Kurkdjian s’enveloppe dans un drap de muscs très poudrés aussi.
Si j’ai d’autres idées, je vais tâcher d’y réfléchir un peu, je viendrais les apporter ici. ;-)
Tutoiement autorisé. ;-)
Bonne journée Arpège. A bientôt.
Opium