La Fille de Berlin
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Bonsoir Sendero.
Vos perceptions me paraissent bien justes et appropriées.
Même si elles sont souvent personnelles et qu’il y a des variations nombreuses possibles, il suffit de lire certains échanges à propos de L’Eau de Narcisse Bleu pour le comprendre, parfois émerge un ensemble de traits communs malgré tout dans la diversité.
Il en est ainsi surtout pour les parfums Lutens et les Annick Goutal dans les ressentis différents qu’ils évoquent pour moi comme pour vous. Leurs "univers" me semblent si différents. Si l’image qui me vient à l’esprit est bien celle d’une photo du passé pour cette dernière marque, un moment d’émotion amical ou familial, les "personnalités" des Lutens me semblent flagrantes. Toutefois, parfois, comme dans Chêne, une scénographie et une imagerie très Annick Goutaliennes peuvent émerger aussi.
Les Ditpyque qui me font voyager dans l’espace et le temps sont surtout ceux du passé, les pots pourris foutraques et bordéliques, plutôt que certains des plus récents, en dehors de Volutes qui, lui, trace une trajectoire directe avec les parfums historiques de la maison en invitant clairement au voyage ! ;-)
Merci pour vos impressions agréables et bien ciblées à propos de chaque personnalité propre à chaque maison. ;-)
A très bientôt.
Opium