Stéphane Humbert Lucas : « Je ne suis pas né à Grasse dans une rose »
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 14 heures
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
hier
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
hier
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je me suis offert un flacon de BAL MUSQUE illico-presto tant j’ai été étonnée d’y retrouver une odeur que j’aime particulièrement, mais qui est si rare en parfumerie, celle de la fleur de tiaré (odeur que je n’ai trouvée auparavant que dans le très beau COCOCAPANA de Patricia de NICOLAI).
Mais, à ma grande surprise, une fois que je m’en sois mis sur la peau et les cheveux, j’ai retrouvé une autre odeur, l’odeur d’un parfum oublié de nos jours : HABANITA.
BAL MUSQUE s’installe, se développe, bouge comme HABANITA et dégage comme HABANITA de très belles ondulations chaudes et poudrées de tiaré.
J’avoue que je n’ai pas su être touchée par les autres parfums de NEZ A NEZ, mais peut-être étais-je déjà parfaitement convaincue et conquise par BAL MUSQUE.
sikkim