Stéphane Humbert Lucas : « Je ne suis pas né à Grasse dans une rose »
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
il y a 18 heures
Certaines senteurs sont genrées, d’autres non ou moins. Dans la catégorie unisexe, un parfum(…)
il y a 20 heures
Bonjour, Farnesiano. "Le Critique de parfum" (anonyme mais à mon avis un nez) écrit ça : "Hermès(…)
hier
Bonsoir, Je ne sais où placer mon intervention sur Barénia, le dernier Hermès sorti il y a(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Je me suis offert un flacon de BAL MUSQUE illico-presto tant j’ai été étonnée d’y retrouver une odeur que j’aime particulièrement, mais qui est si rare en parfumerie, celle de la fleur de tiaré (odeur que je n’ai trouvée auparavant que dans le très beau COCOCAPANA de Patricia de NICOLAI).
Mais, à ma grande surprise, une fois que je m’en sois mis sur la peau et les cheveux, j’ai retrouvé une autre odeur, l’odeur d’un parfum oublié de nos jours : HABANITA.
BAL MUSQUE s’installe, se développe, bouge comme HABANITA et dégage comme HABANITA de très belles ondulations chaudes et poudrées de tiaré.
J’avoue que je n’ai pas su être touchée par les autres parfums de NEZ A NEZ, mais peut-être étais-je déjà parfaitement convaincue et conquise par BAL MUSQUE.
sikkim