Eau d’Ikar
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 2 jours
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 2 jours
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Je l’ai testé dès sa sortie (au passage bon point à une vendeuse de chez Nocibé qui s’est pliée en quatre pour me trouver un échantillon, vu que le magasin n’avait pas reçu le tester). Disons le tout net, l’Eau d’Ikar n’a rien sur le papier pour être le type de parfum que j’apprécie, de son nom (le terme "Eau" me fait en général fuir) à sa famille. Cependant j’avoue avoir plutôt apprécié cette fragrance, complèxe, assez originale au milieu des sorties actuelles, bien que classique dans son architecture, à la fois discrète et tenace, fraîche et piquante. Le type de parfum que je verrais bien l’été sur un commercial ou un diplomate, une fragrance discrète pour ne pas incommoder mais suffisemment tenace pour laisser un discret sillage. Pas le genre de parfum que j’achèterais, bien que pour l’été, en concurrence avec un "Bleu" ou un "L’Homme libre", je n’aurais aucune hésitation.