Parfums de niche
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 15 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Sans intellectualiser, jamais la parfumerie n’aurait avancer.
Non, faut pas dire des choses comme ça.
C’est à part de nos sens, de ces ressentis qu’il faut intellectualiser.
Le N°5 a été créé dans cette optique. Il fallait trouver l’idée de la création, la tordre pour que les gens ne reste pas sur la simple image d’un bouquet.
Je comprends pas la position. Sans intellectualiser un minimum, les gens resteraient sur le ressenti premier du j’aime/j’aime pas. Et après ? OSEF.
On peut dire adieu à la créativité après. Car si aujourd’hui on nous lance des daubes à la pelle dans l’esprit Belle d’Opium/Swarozsky (un total flop des ventes ce parfum d’ailleurs), c’est à cause des gens qui ne veulent pas intellectualiser l’odorat.
Le paradoxe est ici. L’odorat est le sens le plus primitif de tous. Le plus dégueulasse. Et pourtant, c’est celui qui nous mène par le bout du nez. On intellectualise l’odorat, on lui donne du sens, et c’est justement ça qui est étrange. On le rend noble.
Vive l’odorat, oui ! Parce que sans cet éclat des odeurs, sans intellectualisation (?) de l’odeur, on serait tous là à porter le premier Azzaro venu (pour messieurs) et le premier Dior présenté (pour mesdames).
C’est peut être pas facile à admettre, mais on a une sensibilité en plus. Et c’est par l’intellect que l’on accède à la beauté du parfum.
Pourquoi ? That is the question....