Chanel N°19
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Coco mademoiselle est reconnu comme l’un (si ce n’est LE) premier "nouveaux-chypre", et il est par définition supérieur à tous ses clones. En parlant des "cocomademoiselles" c’était ici simplement pour parler des "demoiselles", qui ont un avis sévère sur le 19 ou le 5 mais qui achètent volontiers Coco mademoiselle car il correspond à des codes plus actuels. Personne n’a parlé de "qualité", simplement de tendances. C’est sans doute parce qu’il est au cœur de cette "nouvelle tendance" que j’ai énormément de mal à reconnaitre son sillage et à lui trouver une signature... La crainte que j’ai (et qui semble être partagée), c’est que le N*19 poudré soit un n*19 entièrement lissé, surtout avec des muscs blancs en fond qui sont, justement, une signature très actuelle, omniprésente dans le paysage mainstream. On verra si Sheldrake arrive à réactualiser le 19 en jouant suffisament sur les codes actuels pour que les cocomademoiselles puissent l’adopter (je suis convaincu que ce sont elles le public cible) et éventuellement être introduite au vrai numéro 19, pour qu’elles l’adoptent par la suite et que la clientèle soit ainsi renouvelée pour faire perpétuer un mythe. Mais d’un autre côté, le charme et l’émotion que peux susciter le vrai n*19 doit suffisamment être conservé pour que les adeptes "tolèrent" le flanker.
C’était en tout cas le but visé avec l’Eau Première, puisqu’on ne peux pas maintenir un mythe sur le marché sans que les ventes soient au rendez-vous...