Jeux de Peau
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 16 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 16 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 16 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Je pense que c’est aussi une histoire de nez, de connexion neurologiques olfactives (ça doit exister), d’odeur et d’images que notre cerveau y associe. Je dois parfois me concentrer sur un parfum pour ne pas me faire embobiner par les signaux d’alarme d’allergie potentielle ou des signaux de dégoût (attention, truc pourri, imbuvable, immangeable,...) que m’envoie mon cerveau.
Exemple : je me suis vraiment demandée pourquoi dans l’Heure Mystérieuse, j’avais d’abord senti l’herbe fraîchement coupée en train de sécher au soleil alors que c’est le cacao à plein nez dans ce parfum !?! Mon hypothèse : comme je suis hyper allergique à l’herbe fraîchement coupée et au foin, mon cerveau m’a tout de suite envoyé l’image "foin" avec en gros caractère rouge dessus "attention, crise d’asthme"
Autre exemple : je n’aime pas trop le patchouli simplement parce qu’il est associé à une image négative : bâtons d’encens au patchouli qui brûlent et amènent chez moi une envie irrépressible d’apnée. Ou Jicky et sa jacinthe-hamburger-ketchup-mayo...
Et maintenant, j’ai encore plus l’impression d’être complètement frappée !!! ^_^