Où va la parfumerie (1/4)
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Je vous rejoins assez sur le côté insupportable du magasin Sephora des Champs-Elysées, entre harcèlement et spot de pub... Néanmoins, même si tout ce déballage autour de Dior Homme Sport et de Play (2 nouveautés du groupe LVMH, comme c’est étrange...) va générer une manne financière immédiate, je suis assez rassuré sur le bon sens des consommateurs. En effet, au-delà du "coup de pub", il est clair que beaucoup de parfums ont connu le succès durable sans l’aide d’égérie célèbrissime (Le Mâle, Angel, Terre d’Hermès, Lolita Lempicka, etc...). L’inverse n’est pas forcément vrai ; on voit par exemple que le récent Insolence commence déjà à s’essouffler.
Pour ma part, j’avoue que le phénomène des égéries me ferait plutôt fuir ; je n’éprouve nullement le besoin de m’identifier à ces prétendues stars, et en général, elles sont en totale contradiction avec le rêve véhiculé par la marque. Justin Timberlake... au secours !!! Et quelle cohérence avec l’image de Givenchy à supposer qu’il reste encore une image Givenchy après leurs derniers lancements post-Organza et Pi... Pourquoi Johnny Hallyday ou Zinédine Zidane pour représenter Eau Sauvge à la fin des années 90 ? Quel rapport avec Dior ? J’en arrive presque à l’extrême inverse : me sentir incapable de porter Play, dont j’aime pourtant la version intense, tout simplement à cause du marketing Timberlakisé... Pas forcément intelligent de ma part, mais je n’y peux rien...