Jeux de Peau
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 15 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 15 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 15 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Moi aussi, Vivi, je préfère voir le bien chez autrui, tout comme vous, rassurez-vous ! C’est précisément la raison pour laquelle j’aimerais, une fois le choc passé, que Serge Lutens s’explique : ce choix - aux côtés de Dalida, d’ailleurs, admirez le passage d’un registre à l’autre sur le mode désinvolte - relève-t-il d’une admiration ? D’une identification ? D’une adhésion à une idéologie ? Est-ce un dérapage ? Est-ce réfléchi ? Est-ce une provocation, et dans ce cas quel est son but ? Est-ce une plaisanterie, et, en ce cas, la trouve-t-il drôle ? A-t-il pensé que les victimes du personnage évoqué ou leurs descendants - il y en a - pourraient être choqués par cette petite sortie show-biz ? Laquelle ne m’amuse pas du tout, pour ma part.
Je m’étonne donc que personne ne lui demande un éclaircissement. Face à ces trois mots, la presque totalité de la profession est restée silencieuse, et les rares personnes qui se sont exprimées l’ont fait, non pour demander une explication, mais pour donner une explication. Pour ma part, je proteste et je dis : M. Lutens, expliquez-vous.