Matières animales : mythes & vérités
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 13 heures
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Dans un autre ordre d’idées, mais toujours sur le thème des odeurs qui "révèlent" leurs vertus aromatiques au contact des autres, l’encens préparé par les Prêtres hébreux aux temps bibliques comportait onze ingrédients, tous végétaux. Selon le Talmud, l’un d’entre eux, le ’helbena (dans lequel certains veulent reconnaître le galbanum), pris à part, avait une odeur peu flatteuse ; mais mêlé aux autres composants, il révélait ses bonnes facettes. La tradition juive voit en cela une symbolique humaine : un individu livré à lui-même et à son penchant au mal peut révéler les mauvais traits de sa personnalité ; mais s’il recherche la compagnie des Justes, il dévoilera sa bonté foncière.
Et maintenant, une petite question à ceux qui connaissent le galbanum pur : à quoi cela ressemble-t-il ? Croyez-vous réaliste que cela soit à ce composant que le Talmud fasse allusion ?
Autre question, pour revenir au sujet des matières animales - et notamment à l’auteur de l’article, puisqu’il le propose si gentiment : certains muscs, ambres et autres civettes de synthèse vous paraissent-elles offrir une qualité comparables aux originaux animaux ? Leur origine synthétique est-elle reconnaissable ?