Jeux de Peau
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
ça y est j’ai testé Jeux de Peau, hier après-midi !
J’ai essayé de garder une attitude neutre et détachée, de me libérer de tout à priori, cependant, pas de surprise...
L’odeur de grillé prédominante les premières secondes s’étant donc calmée, apparaît de manière plus nette la réglisse qui prend le dessus, la note de Ricoré reste en sourdine, mais elle est bien là.
Je ne peux pas dire que JDP soit désagréable, au passage je perçois la filiation avec d’autres parfums de la marque, mais je suis bon public, je prends ça comme une signature plus qu’une redite (Amalia en mode peace and love).
Sinon, on ne peut pas parler d’évolution sur la peau, le parfum prend rapidement sa place et les odeurs se superposent, la réglisse en premier lieu et dominante, l’odeur du pain "dessous" et tout au fond celle de la chicorée.
Je ne me vois pas le porter, même s’il ne me déplaît pas, je n’ai pas envie de sentir ça.
C’est comme pour le café, je n’aime pas l’odeur du café qui s’attarde, j’aime bien prendre un café, le sentir sur le moment c’est agréable, le déguster ça l’est aussi mais une fois que c’est fait, je ne veux pas en garder la trace un verre d’eau et dans les 5 minutes un chewing-gum.
Quant à se parfumer avec Jeux de Peau, juste le temps du petit déjeuner....