Le sexe des parfums
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Rencontre avec le parfumeur et fondateur de la marque L’Entropiste, lors du lancement du dix-neuvième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 9 heures
Je porte Mandi Rhubi depuis quelques jours et c’est un véritable enchantement : hespéridée, verte(…)
Bain de tendresse
Mimosa bleu
Eau archangélique
Et bien, Baron, vous avez provoqué une tornade !
Cette discussion avait en effet été ouverte pour permettre a chacun d’exposer sa vision sur le "sexe des parfums "(ou pas), chaque théorie ayant ses points forts et ses points faibles...
Je défendrai pour ma part la thèse "culturelle" plus que "génétique", le meilleur argument étant que les attributions Ou préférences différent suivant les cultures, justement. On aprend a être attiré par un type de parfum parcequ’on a été conditionné pour l’être, et les parfumeurs ne font que reproduire à l’infini les codes et les clichés déjà existants. Sauf les marques "niches" justement qui se détachent de ces codes volontairement.
Il y a bien cependant certaines odeurs pour lesquels nos gènes nous prédisposent à un tropisme (l’odeur du lait maternel) ou la répulsion (ammoniaque, vinaigre) car lorsque nous étions encore chasseur-cueuilleur, il y a bien longtemps, il fallait bien de débrouiller pour survivre et ne pas manger des fruits pourris ou toxiques !
Bref, après cette minute scientifique, je vous remercie tous pour vos réponses variées et légères, parfois hilarantes a un avis qui avait pourtant l’air très innocent et, je crois bien, sans aucune arrière pensée "sexiste" !