Le sexe des parfums
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
hier
Bonjour laprincesseaupetitpoids, bonjour à tous, nous avons très probablement le même : un grand(…)
hier
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Et bien, Baron, vous avez provoqué une tornade !
Cette discussion avait en effet été ouverte pour permettre a chacun d’exposer sa vision sur le "sexe des parfums "(ou pas), chaque théorie ayant ses points forts et ses points faibles...
Je défendrai pour ma part la thèse "culturelle" plus que "génétique", le meilleur argument étant que les attributions Ou préférences différent suivant les cultures, justement. On aprend a être attiré par un type de parfum parcequ’on a été conditionné pour l’être, et les parfumeurs ne font que reproduire à l’infini les codes et les clichés déjà existants. Sauf les marques "niches" justement qui se détachent de ces codes volontairement.
Il y a bien cependant certaines odeurs pour lesquels nos gènes nous prédisposent à un tropisme (l’odeur du lait maternel) ou la répulsion (ammoniaque, vinaigre) car lorsque nous étions encore chasseur-cueuilleur, il y a bien longtemps, il fallait bien de débrouiller pour survivre et ne pas manger des fruits pourris ou toxiques !
Bref, après cette minute scientifique, je vous remercie tous pour vos réponses variées et légères, parfois hilarantes a un avis qui avait pourtant l’air très innocent et, je crois bien, sans aucune arrière pensée "sexiste" !