Mimosa de printemps pour Annick Goutal
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Après une première édition réunissant près de 3000 passionnés et professionnels du monde entier, la Paris Perfume Week revient du 20 au 23 mars 2025 au Bastille Design Center. Dans son sillage, se dessine une programmation inspirée et foisonnante.
il y a 1 heure
Je lis ce commentaire seulement maintenant. + 1000 ! C’est encore plus vrai aujourd’hui. Il(…)
il y a 9 heures
C’est un véritable voyage sensoriel que vous nous offrez avec cette description ! En tant que(…)
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Enfin senti. Et ce n’est pas grandiose, loin s’en faut ! Je suis tout à fait d’accord avec Maxx, si bien que je n’ai pas telment de choses à rajouter, si ce n’est pour dire à Jicky que si, moi aussi je l’ai trouvé vraiment sucré, et surtout si on le compare au Mimosa de Fragonard qui lui pour le coup est vrai soliflore, poudré mais sec, sans sucre aucun, et qui en revanche est à 13 euros les 50 ml, ce qui est franchement plus raisonnable, même si le flacon est moins joli.. Je trouve aussi que c’est un parfum qui porte mal son nom (la "pêche juteuse" aurait mieux convenu), et qui se fait bien plus gros que le boeuf niveau prix. C’est un peu décevant de la part d’Isabelle Doyen, après un si joli Ninfeo Mio, grâce du printemps dernier, ce Mimosa n’est franchement pas à la hauteur. Trop d’accélérations dans les lancements peut-être ? même syndrome que chez Diptyque ? Dommage, dommage.