Scénario catastrophe
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 15 heures
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
il y a 16 heures
Bonjour Gost7 sam, et merci beaucoup pour le conseil, je ne connais pas les parfums de la(…)
il y a 16 heures
Bonjour Giovanna, Bottega Veneta semble en effet discontinué. Vous pourriez aimer "Esquive" de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
De rien, mais je crois que c’est Opium que vous vouliez remercier ;-)
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Je vais être triviale, mais tant pis ; j’ai l’impression que tous les parfums de femme un tant soi peu "couillus", à fort caractère et sillage (Fracas, Vent vert, Opium et Loulou entre autres) sont systématiquement éteints lors de leurs reformulations. Pourquoi nom d’un chien ? Pour coller à cette même tendance qui dit que le poil c’est sale, le gras c’est obscène et les rides une infamie ? Cette tendance qui, si on la suivait à la lettre, ferait de nous des êtres aussi lisses que des poupées de celluloïd qui sentent le bonbon ("mmh c’est sucré et fruité, c’est sensuel mon chéri adoooooore !!"), sans une once de personnalité et encore moins, surtout pas, d’une once de cette animalité qui sommeille encore en nous ? Je me rappelle encore des années 80 où des femmes de caractère arboraient des Poison ou Opium sans trop de subtilité certes, mais avec panache ! De vrais parfums de femmes affirmées et fières, des parfums de fières amazones quoi ! Mais non, aujourd’hui on dirait qu’il faut sentir bon sans que ça dépasse...