Un parfum, au bon moment, au bon endroit.
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
il y a 10 heures
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
hier
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
hier
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Vaste question ! (ou questionS plutôt -il y en aurait des choses à dire, mais je m’apperçois que mon message est déjà très long) Et je vais tenter de répondre à la question sur l’influence. Comme pour tout on est influencé, que ce soit le dernier film, album, collection haute couture ou parfum etc. Les articles que l’on va lire dans la presse, le lancement presse officiel, tout le marketing qui va entourer la sortie, les avis des amis, la fréquence à laquelle on va tomber sur des affiches publicitaires, les avis sur les différents blogs, le fait que ce soit le dernier parfum/album de notre parfumeur/chanteur préféré...
Je crois que la personne que se dit non influencée par quoi que ce soit est soit une hermite, soit est en plein dénie.
Le mieux pour les parfums alors, serait le test à l’aveugle, sans connaître ni la marque ni le parfumeur qui l’a composé, pour être le plus objectif possible et laisser parler uniquement notre nez et nos préférences.
Pour prendre un exemple récent, le dernier lancement de Serge Lutens est encensé bien avant sa sortie alors que le dernier (enfin, deuxième ?) Galliano a été critiqué avant que qui que ce soit ne l’ait senti. A quoi étaient dues ces acclamations/critiques ? Un dossier de presse. Peut-être que si ces deux parfums avaient été testés à l’aveugle ils auraient eux les mêmes réponses, mais comment en être sûr ?
Pour rentrer dans l’experience personnelle, nombres de fois j’ai été déçue suite à l’essai d’un parfum grâce à une critique positive, mais aussi l’inverse. Alors j’essaie tant bien que mal de faire abstraction de ce que j’ai pu lire auparavant et me concentre sur le parfum en lui même (et ne pas penser que si on adore le dernier 1 milion ou qu’on déteste le dernier Goutal on va se faire lyncher sur la place publique).
En ce qui concerne le lieu de test de parfum, je préfère... le bureau. J’ai tendance à ne pas me concentrer complètement lorsque je me pchitte un parfum sur le poignet dans une parfumerie (de laquelle je ressors aussi vite que je suis rentrée) car généralement je suis distraite par ce que je fais après et "oublie" de suivre l’evolution du parfum. Tandis qu’au bureau, j’applique le matin mon échantillon et peux suivre tranquillement le développement tout au long de la journée, et sans être dérangée par d’autres parfums. Le seul souci c’est qu’il faut un échantillon du parfum à tester, chose pas tout le temps évidente...
En ce qui concerne la perception du parfum, étant donné qu’un parfum ne sentira jamais pareil que ce soit sur une mouillette ou une personne (mouillette ou vêtement d’ailleurs) et que cela varie d’une personne à une autre (sans parler de ce que dégage la personne, càd 1 milion = mec bling bling, N°5 = mamie, Dior Addict = pouffe etc), il est évident que notre ressenti est conditionné par rapport à la personne sur laquelle on va le sentir. Pour prendre un exemple, j’ai adoré sentir Ultraviolet sur une fille que je venais de rencontrer et qui était très sympathique, et peut-être que son charisme a renforcé la senteur du parfum, alors que lorsque je l’ai testé sur moi, il était quasi invisible (ou inodore).