Déclaration
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 5 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Un parfum d’une élegance raffinée, il n’est pas rare, il est unique. D’une manière surprenante, il convient particuliérement bien aux fumeurs, l’odeur de tabac froid, d’habitude dérangeante, venant agréablement sublimer ses senteurs (aussi surprenant que cela puisse paraitre j’ai toujours trouvé qu’il était moins charmant sur des peaux vierges de fumée de cigarette) -et aux peau de métis et d’atopyque sur lesquelles il vire de la plus charmante des manière (bon, pour le coup, je generalise un peu vite, je ne l’ai senti que sur trois peaux de ce genre). Il a l’élégance racée et distinguée d’une soirée au coin du feu, au fin fond de la campagne anglaise, dans un cottage battu par la pluie, un brandy à la main et un bon livre sur les genoux (car j’y fleure l’odeur subtile du papier, n’en déplaise !). Deux de mes soeurs l’ont porté longtemps, j’ai toujours su le faire accepter à mes amours, et quand d’aventure, je suis célibataire, c’est sur ma peau que je le porte, comme une odeur familière et rassurante. Excellente tenue sur la peau, bien qu’il n’évolue pas de la journée, il est parfait sur qui veut une odeur "à lui", qu’il n’humera pas partout, sur qui a du caractère et une allure naturelle. Suis tout de même particulièrement surpris d’avoir aussi été charmé par 1 Million (l’eau, pas le flacon bien sur) en le renifflant avec apriori et par hasard cet après midi en parfumerie... Me voilà bien malin, j’étais parti pour me racheter mon déclaration, maintenant je me retrouve avec deux échantillons, et un choix cornélien...