Une Voix Noire
par lrisfleur, le 30 octobre 2014
Chère Solance,
Je me permets de faire migrer la conversation ici vu qu’elle porte sur Une voix noire. J’en profite pour remercier Opium qui, grâce à son article très alléchant m’a permis d’aller découvrir ce Lutens sur lequel je ne me serais peut-être pas attardée sans cette chronique !
J’ai eu la chance de me le faire offrir, mon flacon est presque terminé mais dès que j’en acquiers un nouveau, c’est-à-dire très vite, je vous ferai parvenir un nouvel échantillon si vous le souhaitez :)
En ce qui concerne mon ressenti, je n’ai pas été déçue : pourtant, je me lasse assez vite de manière générale et peu de parfums résistent à l’épreuve du temps (c’est un travers malheureusement).
Mais Une voix noire continue à me plaire comme au début, avec la même intensité.
Je ne le porte pas tous les jours, et surtout en soirée. J’ai tenté l’expérience pour aller travailler un matin à 8h et les effluves de cerises confites mêlées à des notes tabac m’ont rendu malade, je n’ai pas renouvelé l’expérience^^.
Clairement, je trouve que c’est un parfum pour le soir, ou en tout cas pour l’après-midi !
J’ai souvent eu des compliments quand je le portais. L’une de mes proches, qui l’apprécie énormément, dit que ce parfum est comme une drogue pour elle, elle ressent le besoin de le sentir ! Rien que ça !
Il a quelque chose d’assez réconfortant mais crée en même temps une atmosphère particulière, un peu hors du monde. Je l’adore pour cette originalité là justement, il ne ressemble pas aux autres parfums, il est vraiment unique ! Comme vous l’avez vous-même soulevé très justement, son sillage est présent, ce qui est un plus : lorsque je mets un parfum, j’aime le sentir... s’il disparaît complètement au bout de 5 min, je me sens frustrée. Or celui-ci est bien là, il tient longtemps et embaume l’air, pas de doute sur le sujet ;) C’est presque excessif mais pas gênant tellement ça fait du bien !
Quant aux couleurs, je vous avoue ne pas faire très attention à ce que je porte. Toutefois je l’assimile à des nuances de rouges sombres, du bordeaux, du pourpre, et du noir bien sûr. Il me rappelle l’ambiance enfumée et alcoolisée d’un bar à une heure tardive où passe une musique de jazz, le décor se situant vers la première moitié du XXe siècle. Ma vision est finalement très proche de celle d’Opium, mais aussi de la vôtre si j’en crois le commentaire que vous avez écrit le 12 mai :)
Voilà pour mes impressions, quelques mois après avoir commencé à apprivoiser ce parfum, j’espère que j’ai pu répondre à vos questions...
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