La Treizième Heure
par XIIIème Heure, le 10 décembre 2013
Bonsoir,
En rejoignant les rangs des participants du site, j’ai choisi le nom de ce parfum comme pseudonyme. J’ai attendu assez longtemps pour lui donner les quatre étoiles qu’il mérite amplement. Il évoque si bien la nuit d’hiver piquante et pleine de fumée froide, ou l’automne humide, doux et décrépissant. La Treizième Heure me touche d’autant plus qu’elle fait pour moi écho à ce passage du Journal de Mireille Havet :
« Odeur de fumée de l’automne.
On brûle les taillis, on brûle les sarments. Le chaume du champ fume comme une pipe.
A la mer, on brûle le varech.
Jusqu’à la ville, cette odeur roussie est venue. Elle apporte la mélancolie de la grande route et l’auberge sombre où, dans la nuit nouvelle, l’hôtesse allume quelques branches pour le souper.
Les retours ! les chasses, les angoisses… les nuits.
Le soleil rajeuni du lendemain et, cependant, comme il s’éloigne. L’Orient le tire, notre occident demeure privé de vie. »
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