Après l’Ondée

par Aberystwyth, le 20 octobre 2017

J’ai l’impression que le classement des parfums est vraiment une affaire de goûts personnels... Un parfum est en trois dimensions, une composition variée et qui justement cherche souvent à s’affranchir des barrières. Vouloir le classer, c’est le replacer en deux dimensions, et forcément, une partie de la richesse disparaît, le "classeur" ne gardant que ce qui compte pour lui/elle.

Peut-être le meilleur moyen de faire un classement serait de la faire par filiation : tel parfum a été l’inspirateur de celui-ci, qui a son tour a renouvelé le genre, celui-ci crée une nouvelle famille, ou au contraire se place complètement isolément.

Après ça, c’est vrai que c’est compliqué par le nombre de parfums qui tirent inspiration de nombreux autres opus de familles différenciées...

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