Chanel fait rugir les Exclusifs avec Le Lion

par Farnesiano, le 6 juillet 2020
On peut le déplorer, Hélianthe... Mais moi, j’aimais bien quand ça sentait fort ;-) (sauf peut-être durant de longues heures au théâtre.) Où sont les Diva, les Paloma, Gem, Poison, Opium, Aromatics E., Giorgio, Coco, Champagne, Must, Obsession, Cinnabar, Magie Noire, le Samsara original, quelques beaux vieux Caron et où retrouver du côté masculin les Polo, Kouros, Egoïste, Antaeus, Bel Ami, Lauder for Men, Fahrenheit, autrefois si beaux, si forts, mais singuliers et si racés... et pour nous, à l’époque, tellement jouissifs !
Pourtant les jeunes, des classes populaires essentiellement se parfument généreusement. Mais sans doute les a-t-on trop orientés vers un style unique : fruité-vanillé surdosé pour elles ; pour eux, épicés-boisés-ambrés dévastateurs.
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