1957, le quart d’heure américain de Gabrielle Chanel
par Ewandé, le 7 janvier 2019
Grande déception, je m’attendais à un parfum fourrure qui représente ce qu’est la 57ème Rue à New York, le parfum d’une new-yorkaise extravagante et fortunée de l’Upper East Side qui passe ses weekends dans les Hamptons ou les Berkshires. Rien de tel, 1957 n’est rien d’autre que la version Chanel de Fleurs de Citronnier de Serge Lutens. Si le Lutens est plus épais et chaud, le Chanel est plus transparent et froid, mais la ressemblance est troublante, on frôle la copie.
Votre réponse
à la une
La vanille fait son défilé : la revue de sorties
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
en ce moment
il y a 17 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 18 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Dernières critiques
Colonia il Profumo - Acqua di Parma
Faits et zestes
Vanille Carbone - Atelier Materi
Brut de gousse
Carbone - Balmain
Sillage anthracite









il y a 17 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)