Joy

par Absinthe, le 12 février 2020
Il est mien, enfin !
Je ne peux que rejoindre Farnesiano : à mon nez aussi il apparaît lumineux, rayonnant et souriant, comme une jolie rose de printemps bien joufflue, pimpante et scintillante de rosée au soleil. Je ne perçois son côté fastueux que par la qualité évidente des matières premières, mais il est bien moins opulent que ce que j’imaginais, et au final bien moins impressionnant qu’Arpège par exemple. Autant je porte ce dernier avec parcimonie, autant je me verrais bien porter Joy tous les jours sans me sentir "écrasée". Il est subtil tout en étant bien présent, il vous pose sans vous imposer, il sent bien son parfum de luxe mais sans tomber dans le tape à l’oeil, et oui : il est souriant, ce terme lui convient très bien. Pour moi, il est le pendant hivernal de 1000, idéalement. Je leur trouve aux deux cette même impression de "boutique de fleuriste" vu que sur ma peau, l’aspect boisé-musqué de Joy ne ressort pas du tout.
Petite précision : je porte l’edp cuvée 2018 (et bien sûr, je me demande à quoi il pouvait bien ressembler dans les années 50 mais ça, je ne le saurai jamais).
En gros, Joy n’est pas ce à quoi je m’attendais, mais il me plaît et a le don de me rend optimiste, ce qui n’est pas rien en cette période troublée ; Jean Patou avait un vrai talent pour illuminer les périodes de crise finalement, grâce lui soit rendue ! :)
Votre réponse
à la une
Into the Wild - Maison Matine
Cette nouvelle eau légère, mais non dénuée de caractère, démarre sur une pincée de cardamome et de poivre camphrés, annonçant un décor plus solaire.
en ce moment
hier
Bonjour à tous, Amoureux des parfums de Sylvaine Delacourte, réjouissez-vous ! Les parfums de la(…)
il y a 5 jours
Avis aux parisiens du site, Serge Lutens vient de lancer sa nouvelle collection Au Royaume des(…)
Dernières critiques
L’eau d’or dort - Fascent
Fleur de bonne humeur
Vénus céleste - Denis Durand
Déesse dans le boudoir
Violette Kew - Le Jardin retrouvé
Épice & love
hier
Bonjour à tous, Amateurs des parfums Sylvaine Delacourte, réjouissez vous ! Alors que(…)