Le sexe des parfums
par mitsouko, le 5 avril 2011
Ben, moi non plus je ne vois pas où il y a eu moquerie. A moins que l’histoire du perroquet ? Et encore, je l’ai plutôt perçu comme une boutade un peu farfelue qui montre surtout une tendance à l’auto-dérision (tellement accros aux parfums qu’on parfume son perroquet.... ou son lapin^^).
Je crois pouvoir dire sans trop m’avancer que nous kiffons grave (soyons djeuns !) les interventions du Baron parce qu’elles suscitent des discussions passionnantes.
Et puis apprendre qu’il porte un féminin malgré sa théorie très ancrée sur la sexualisation des parfums montre une ouverture d’esprit très prometteuse dont je l’en félicite. Je pense même que notre Baron a plus d’humour qu’on ne le pense parce qu’il revient nous faire part de ses idées après s’être pourtant fait allègrement charier. Ce qui est tout à son honneur.
Nous n’avons pas la même conception du parfum que notre Baron et c’est bien cela qui est intéressant, la confrontation des idées, la culture du débat comme disait Jean-David, c’est chouette non ?
Et puis notre cher Baron est New-Yorkais, ce qui explique peut-être sa vision du parfum comme arme de séduction massive. Plaire, encore et toujours, plaire à tous prix semble être un leitmotiv aux States.
En France nous avons une culture plus hédoniste, on aime se faire plaisir avant tout, et si ça plait aux autres : tant mieux mais ce n’est pas le moteur principal pour la majorité d’entre nous.
Et l’art du débat, c’est un plaisir comme un autre..........
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