Allure Homme Edition Blanche
par bogart smokes, le 22 décembre 2008
Une vraie déception ce parfum ! Pourquoi ? parce qu’il est génial, mais que comme souvent, il devient une horreur sur ma peau ! Je ne vais pas m’étendre sur ce qui a été très bien dit plus haut : le citron est un vrai bonheur, gourmand à souhait, et, à mon sens, plus efficace dans le coté "parfum dessert" que d’autres senteurs comme Angel ou Lolita..., parce que beaucoup plus sombre justement.
La suite est divine, les notes citronnées s’adoucissent encore, et les notes poivrées font tout leur travail, pour une senteur réellement subtile, délicieuse, et néanmoins vraiment masculine. Bref, j’étais conquis, et pratiquement prêt à me l’offrir, mais voilà, c’était sans compter sur ma peau, et le fait que ce parfum tient vraiment longtemps. Au bout de quelques heures, il tourne complètement sur moi, fini le citron, fini les notes poivrées et la douce alchimie : ne reste sur ma peau qu’une odeur très poudrée, étouffante de maquillage posé à l’excès. J’ai eu du mal à le supporter sur la fin, et mon entourage également, chez qui la réaction a été unanime : "tu sens la cocotte !" (les réactions n’étaient absolument pas les mêmes quand la pose du parfum était encore toute récente).
Conclusion : une merveille de parfum pour les personnes qui ont la chance d’avoir une peau "compatible", et je les envie, tant c’est un bonheur que de le porter et de la faire sentir. A tester absolument sur soi avant achat en tout cas.
Votre réponse
à la une
Héliodose - Marlou
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
en ce moment
il y a 2 jours
« 1000 » c’était du vrai haut de gamme ; l’antithèse de la vulgarité. On a perdu Jean Kerléo ou une(…)
Dernières critiques
Chemin d’amande - Une Nuit nomade
Amande complète
L’eau d’or dort - Fascent
Fleur de bonne humeur
Vénus céleste - Denis Durand
Déesse dans le boudoir
hier
Bonsoir, Le massacre de la marque Jean Patou, pour moi, ne passe pas du tout. 1OOO, je l’ai(…)