Five O’Clock au Gingembre

par grand’ourse, le 10 mars 2011
c’est curieux, j’ai le même ressenti que vous quant à la dualité des parfums lutens
je crois bien que c’est ce qui me touche en eux, pas d’évolution linéaire, plutôt une conversation entre deux facettes bien contrastées, complémentaires
pour moi chergui, c’est poussière et soleil, chêne, c’est rhum et mucre, daim blond c’est chic et abricot, etc.
et là, pour five o’clock, c’est père et mère, réminiscence de la salle de bain familiale où se mêlaient azzaro et opium
ai-je besoin d’ajouter qu’il a rejoint ses petits camarades dans le tiroir à malice ?
je pense donc à présent savoir aussi pourquoi je n’ai pas aimé bas de soie, je l’ai trouvé non complaisant monolithique. là où j’aurais sûrement voulu un pendant à sa raideur, il est resté sec et froid et ... tout seul !
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