Incarnata d’Anatole Lebreton, rouge baiser et iris lumière

par zapakh, le 1er mars 2016
Coup de foudre en boutique pour ce parfum que j’essaie dans le creux du poignet chaque soir depuis une semaine. Voici mon ressenti : sur ma peau, s’installe une note sucrée que j’ai fini par identifier : un arôme Malabar (le classique avec emballage jaune) mêlé d’Hollywood chewing gum à la chlorophylle qui, sans me déplaire et tout en étant cohérent avec le concept même du rouge à lèvres (rouge = bouche = pourquoi pas, chewing gum), s’éloigne trop des sensationnelles notes de tête du parfum et de la dimension ’rouge à lèvres’ que j’espère. Je serais curieuse de lire vos expériences. En attendant, je poursuis la mienne. Bonne journée à tous.
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