L’aftershave et le parfum d’une vie pour un papa

par Emeline, le 9 août 2014
Bonsoir Maclio,
Habitant en banlieue parisienne, il est évidemment plus facile pour moi d’aller et venir dans les boutiques spécialisées avant de faire un choix.Sur place, je test sur touche, je laisse évoluer, j’étudie et je ressens (l’émotion étant plus importante que l’idée beau parfum/mauvais parfum... même si les goûts et les couleurs peuvent parfois se discuter). Viens ensuite le test sur peau, son évolution sur moi, ma projection personnelle, l’évidence du porté (le supporterais-je régulièrement, suis-je à l’aise avec) Après une pré-sélection, je demande éventuellement si on peut me fournir quelques échantillons que, par la suite, j’utiliserai de manière saccadée pour ne pas être sujette aux coups de coeur sans suite (ce n’est pas toujours le cas, j’ai acheté en début d’année un parfum que je n’ai senti qu’une fois et que j’ai essayé sur peau le jour-même, à ce jour la passion est intacte) Bien entendu je conserve les touches parfumées dans des livres ou des petites pochettes plastiques, une surprise est toujours un événement inattendu.
Quelques sites vendent des échantillons (Histoires de Parfums par exemple, James Heeley ou Olfactive Studio)
Quant à votre appréhension sur une éventuelle fixation sur les notes de tête, tout s’apprend, c’est une question de temps. Elles peuvent être parfois rebutantes ou au contraire accrocheuses et s’y attarder au début de la découverte olfactive est naturel. On apprend à les considérer telles des majuscules en début de phrase ;)
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