Quel parfum portez-vous ?
par Dominique Brunel, le 18 juillet 2014
Petite mise à jour
Apparemment, ma prose a pu vous induire en légère erreur... Beaucoup parmi vous indiquent sous cet article quel parfum ils portent.... mais cet article ne visait initialement qu’à présenter la nouvelle fonctionnalité qui vous permet, sur chaque fiche parfum, d’indiquer que vous le portez. Evidemment, nous n’avons pas tous les parfums en "boutique". Mais pour ceux qui sont critiqués ici, n’hésitez pas à cliquer sur le petit flacon sous le visuel :)
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Vous le savez, auparfum ne rêve que d’une chose : chaque jour, vous éblouir un peu plus. Hier nous lancions sur notre site une fonctionnalité d’alerte contenu que des millions de sites nous envient à travers le monde.
Aujourd’hui, nous réalisons ce rêve inouï : il vous est désormais possible de clamer au monde entier ce simple cri du coeur "Je le porte" ! Mais attention, après 24 heures, pffuittt... plus rien... ils vous faut vous re-parfumer !

Vous retrouvez en bas de la fiche, la liste des auparfumistas qui portent/ont porté ce parfum (Onglet : Qui le porte)

Et bien sûr, vous retrouvez sur le profil de tous les membres la liste de leurs parfums portés.

Pour voir, jour par jour, toute l’activité liée à cette nouvelle fonctionnalité, il suffit de se rendre sur la page Parfums Portés, dans le menu Communauté.

Voilà.... à vos sprays !
Thème
auparfumpar Solance, le 26 avril 2015 à 22:40
Ce soir, après une journée pluvieuse, Korrigan de Lubin (échantillon), qui se fait très rapidement cuir tabacé sur ma peau, très légèrement arrondi par l’alcool(whisky et cognac) dont la note n’est pas ecoeurante ni trop gourmande cela dit. J’avais lu que chez certains, il tournait au Baileys, ce n’est pas le cas sur ma peau, il reste relativement sec... Je le préfère finalement à Idole que je trouve très -trop- alcoolisé...
par Farnesiano, le 26 avril 2015 à 18:15
L’Eau du Fier d’Annick Goutal/Isabelle Doyen. Un cuir fumé d’une audace folle.
par zapakh, le 26 avril 2015 à 14:02
QUELQUES FLEURS d’Houbigant (même si ce n’est plus le parfum que je connus, au temps jadis...)
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par Lady of Shalott, le 26 avril 2015 à 14:33
Il a vraiment tant changé que cela ? Et à quoi est-ce dû ? Je ne l’ai senti qu’une fois, en parfumerie, en 2010, je crois.
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par zapakh, le 26 avril 2015 à 16:18
Oui, vraiment. Mon nez a-t-il changé ou bien est-ce la formule ? Je pense que ce parfum est devenu l’ombre de (son chien ?) lui-même. Je l’ai découvert en 1986 et en gardais le souvenir d’une fragrance richissime, la quintessence du floral avec tenue et sillage fabuleux. J’en ai racheté un flacon il y a quelques mois sans grande conviction, et pour cause : la composition d’origine est devenue éthérée, un peu comme si le parfum avait été dilué dans ...de l’eau. Quelques fleurs, oui, juste quelques unes...
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par billieH, le 26 avril 2015 à 13:01
Un parfum de charme et de feuilles, de TDC...joliment printanier.
par hangten, le 26 avril 2015 à 10:43
Patchouli de Réminiscence. Un dimanche matin, tranquille, ça le fait très très bien.
par hangten, le 25 avril 2015 à 18:55
Aujourd’hui c’est Sables, et c’est grand. Infiniment grand, crépitant, brûlant.
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par lucasdries, le 25 avril 2015 à 21:07
tu m’étonnes !!! Quel poésie ce Sables .. portes tu aussi la nouvelle mouture du parfum ?
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par hangten, le 26 avril 2015 à 00:24
Non, je ne possède que l’ancienne version, puissante et entière ! Un vrai nectar d’immortelles, les dunes dans un flacon !
J’ai senti la nouvelle chez une amie ; cela m’a paru très adouci, mais pas désagréable. Qu’en penses-tu ?
par Farnesiano, le 26 avril 2015 à 17:55
Bonsoir, Hangten et Lucasdries. Je me permets de m’immiscer dans votre échange pour dire tout le bien que je pense des deux versions de Sables. Si l’originale nous décoiffe, déconcerte, dérange, c’est pour mieux nous troubler et nous envoûter par la suite. Cette bourrasque brûlante emporte tout sur son passage, et nous progressons, tour à tour effrayés et ravis, pieds nus dans ces dunes incendiaires. Un chef d’oeuvre absolu, la nature la plus sauvage devenue à la fois intense parfum et pure poésie. Immortelle et cannelle fusionnent comme jamais me semble-t-il dans l’histoire de la parfumerie.
La version actuelle, que l’on dit plus sage, demeure incroyablement audacieuse, pour qui ne la connaît pas et aussi par rapport aux plus folles sorties dites de niche. De tenue moindre, elle séduirait plus par sa souplesse et son élégance que par sa sauvagerie initiale, son authentique âpreté. Mais, dans les deux cas, peut-on imaginer sécheresse plus addictive, poésie à la fois plus rude et plus solaire ?!
Beaucoup trop de qualificatifs ici mais Sables fête ses 30 ans cette année : il en mérite tant !
Je n’ose imaginer qu’un jour, on nous supprime Sables comme on l’a fait de L’Eau du Fier...)
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par hangten, le 26 avril 2015 à 21:15
Ah non !!! Je n’ose l’imaginer également !
Merci Farnesiano pour cette très belle description à laquelle je ne retranche rien ! Et je suis rassuré par ton jugement sur la nouvelle mouture du chef d’oeuvre.
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