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Balenciaga cultive sa Rosabotanica

par Jeanne Doré, le 11 novembre 2013

Après un fort réussi Florabotanica lancé en 2012, Balenciaga propose la deuxième rose de son jardin secret : Rosabotanica, plus fraiche, plus pure, enveloppante comme une seconde peau.

Basée sur un accord de rose épicée, Rosabotanica est composée de jacinthe, feuille de figue, petit-grain, pamplemousse, cardamome, poivre rose, ambre, vétiver, patchouli et cèdre.

 

Source : Fragrantica

Thème

Balenciaga
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Patrice

par Patrice, le 14 novembre 2013 à 19:30

C’est drôle, car j’appelais justement la rose de Florabotanica "Rosa botanica" dans mon article à son sujet. Comme pour inventer un nom latin à cette rose terreuse, indomptable, sauvage...
J’ai des prémonitions !
 
Appelez-moi Mme Irma !
 
Sinon, je suis impatient de sentir ça. Jusqu’à maintenant, Balenciaga ne nous a pas déçu (à part avec le machin rose en déclinaison de son Balenciaga Paris).
Il faudrait aussi qu’ils pensent à ré-éditer Le Dix ! Enfin je dis ça, je dis rien !

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par Farnesiano, le 14 novembre 2013 à 23:25

J’adore Le Dix. Quel joli bouquet floral, si finement poudré, qui, même si elle n’est pas mentionnée dans les notes principales, me rappelle la violette... Est-ce dû à la présence de l’iris qui anime la composition ? Je le respire souvent, tant il me rappelle de beaux chypres, sans pourtant jamais le porter, pour économiser mon petit 50 ml. Certains le trouveront trop " petite madame distinguée ". Mais non, il a tellement plus d’allure,de personnalité et surtout de charme que la majorité des jus actuels.
Le rééditer au plus vite ? Bien sûr ! Et qu’on se le dix !

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par Newyorker, le 15 novembre 2013 à 00:08

Bonsoir Farnesiano,bonsoir Patoche,
Quel merveilleuse création que ce Dix, n’est-ce pas ? C’est un véritable nuage de poudre de riz, d’une très grande élégance. Je me demande si, ce que vous prenez pour de la violette ne serait pas la note lilas très présente en cœur du parfum. Le fond est d’un moelleux et d’un confort inoui, très santal, tonka et légèrement animalisé. Cependant, je ne porte que rarement mon eau de toilette en journée, ce parfum me correspond peu, mais j’aime dormir avec. L’extrait est différent, plus riche, plus floral, moins vaporeux, et surtout moins poudré. Je l’aime moins. Par contre, je ne perçois pas du tout l’aspect chypré que vous mentionnez.

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par Farnesiano, le 15 novembre 2013 à 10:45

Je ne connais pas l’extrait et je ne parviens pas à l’imaginer, tellement j’aime l’eau de toilette et son sillage vaporeux, et enveloppant (cette dernière caractéristique commune avec les chypres). Pour ce qui de la violette, j’ai peut-être trop rapidement établi une comparaison avec Grey Flannel auquel il m’a vaguement fait penser quand je l’ai acheté en même temps il y a de nombreuses années (c’était l’époque où je découvrais l’art de la parfumerie quand un magasin en faillite solda tout son stock ; j’ai acheté ce que j’ai peu, avec mes moyens de l’époque mais aujourd’hui que je navigue dans AP, je regrette de ne m’être pas saigné davantage). Sans doute ai-je été également influencé (et ce n’est pas la première fois) par la couleur violet foncé, celle du si joli petit noeud qui orne le ruban imprimé sur l’emballage. So chic ! Merci de me révéler cette note lilas que je devrais bien connaître puisque je respire celui dont les branches me font signe chaque printemps à la fenêtre de ma cuisine... Quel parfum n’avez-vous pas ?! Je n’ose imaginer votre collection : un infini paradis !

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par Newyorker, le 15 novembre 2013 à 14:01

Ahah, je vous garantie que ma collection reste modeste comparée à celle de certains autres dingos. Je tourne autour de 100/120 flacons je pense. Je crois par contre que 80% de ma collection n’est pas IFRA :). Mais maintenant, je me concentre vraiment sur mes parfums préférés, afin de faire des stocks, car le vintage, dans quelques années, ça va devenir très compliqué. Ces derniers temps, j’ai acheté des Tabac Blond anciens par exemple, ou des flacons de Femme de Rochas d’avant 1989, au gré des opportunités.
Rien à voir, mais hier soir, j’ai sorti du frigo les flacons du Narcisse Noir, et j’ai eu l’impression que les jus étaient aplatis, avec moins de volume, d’ampleur, moins complexes...Je commence à me méfier du réfrigérateur et je pense que je vais investir dans une petite cave à vins. J’ai pensé à vous parce que je sais que vous avez eu le même problème avec Or et Noir, lors d’un coup de froid.

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par Farnesiano, le 15 novembre 2013 à 14:56

Bonne mémoire, Newyorker ! Je conserve mes flacons dans un placard bien sec et à l’abri de toute lumière. La température peut varier entre 8 - 10° l’hiver et maximum 20° l’été. Heureusement, les variations ne sont jamais brutales. On m’avait conseillé de conserver les crèmes parfumées au réfrigérateur et toutes mes Goutal ont tourné au bout de même pas deux ans, dont celles de la Myrrhe ardente et de l’Ambre fétiche, qui m’avaient coûté bien cher mais dont je raffolais m’enduire les mains et les avant-bras.
- Le frigo à vins ? oui mais le vin a besoin d’humidité. Donc, à bien régler. Bon week-end !

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par Jean-David, le 18 novembre 2013 à 12:41

Je vous confirme que le Dix a un pouvoir d’évocation de la violette, quoiqu’il ne semble pas en contenir. Quand je le porte, je l’associe en pensée à une huile de violette, contenue dans une petite fiole de grès au bouchon de liège, que j’avais trouvée il y a plus de vingt-cinq ans dans un magasin de produits pour magiciens et magnétiseurs (je m’intéressais à ces choses !). Eh bien le Dix, par son aura, sa majesté, sa tranquille séduction, exerce précisément une forme de puissance magnétique, et cette violette fantôme ou putative y est pour quelque chose.

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