Baptême du feu
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Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a ceux qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Cette semaine, Patrice Revillard nous parle de l’importance de la création d’Annick Menardo dans son travail.
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Bonjour margot,
moi aussi j’ai du mal avec les notes savonneuses, c’est pour cela que je suis peu attirée par les parfums Chanel par exemple. Je ne mets pas un parfum pour sentir le propre, je le porte pour compléter ma tenue, comme un bijou, pour raconter une histoire, pour m’accompagner toute la journée.
Je vous conseille de toujours attendre quelques minutes quand vous découvrez un parfum, pour que les notes de tête, celles qui frappent le nez après pulvérisation, se posent. Car on a parfois de jolies surprises avec les notes de cœur, qui estompent, voire effacent totalement la note savon que l’on n’apprécie pas. Baptême du feu, je l’ai découvert hier, et je ne sens absolument pas les aldéhydes, il est piquant, vivant, il sent le feu d’artifice, les notes épicées, le poivre, bref toute un opéra plus qu’une symphonie parce qu’il "gueule", et j’aime les parfums de ce genre, avec du caractère, qui envoient !
Bonnes découvertes et à bas les aldéhydes ! (ou seulement si elles apportent un propos au parfum...)