100 pour sans citron
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
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Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Voilà un excellent sujet. Je pense avoir plusieurs fois noté mon aversion pour toutes ces eaux, ces versions sport, fresh, 100 % citrus limonia aussi inintéressantes les unes que les autres.
Effectivement Phoebus, la gamme qui me vient en premier à l’esprit, est celle des colognes Hermès, en particulier bien entendu Eau d’orange verte (pour laquelle j’ai opté cet été). Dans le même esprit, j’aime beaucoup l’édition limitée Eau d’orange de Cartier. D’ailleurs, l’Eau "classique" pour homme de Cartier est ma préférée dans le genre. Complèxe, aqueuse, délicatement épicée je trouve, évolutive, mais sans (ou peu) cet horrible Paic citron.
Dans les parfums hommes frais, j’aime beaucoup le décrié Ice men, de Mugler. Certes, il n’est pas exent de citron, mais il a quelque chose de glacial, qui le rend assez original, a mille lieues des flankers "fresh citrus limonia" ventés par la vendeuse de chez Séphora.
Pour cet été, j’ai également acquis le Roadster de Cartier. J’aime cette menthe explosive, puis son évolution boisée / épicée. Cependant, je comprends qu’on puisse le trouver un peu "lourd" pour l’été. Par contre je fuis sa version sport.
En parlant de version sport, dans cette catégorie, l’Allure de Chanel est le seul que je trouve réussi. Il conjugue fraicheur, puissance, tout en ayant gardé la trame de l’original. Une belle réussite.
En soirée, pas trop chaude, je porte de temps en temps le Roi soleil de Dali.
Il assez fougueux, chaud, mais pas entétant et peu épicé (il me fait penser sous certains aspects au Minotaure de Paloma Picasso). A utiliser cependant avec parcimonie s’il fait très chaud.
Dans une autre lignée, on peu pourquoi pas tenter le très sudiste 1881 de Cerruti. Il est suffisement discret pour être porté l’été et a l’avantage de pouvoir traverser les autres saisons.
Pour terminer, il me semble qu’il y a des choses assez sympas chez Bulgari en parfums frais, mais je ne les connais pas très bien.