Chanel N°19
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Dans un livre qui analysait l’image des marques, il y avait peut-être une clef… D’après l’auteur Chanel était une maison qui exprimait le pouvoir et la conquête d’une femme seule, sans homme, sans famille, à l’image de sa créatrice et pas du tout la séduction, l’amour ou le désir. Ça explique peut-être le coté incisif du parfum ?
Mais ce qui est marrant, c’est que Chanel est l’une des rares maisons qu’on n’ose pas ne pas aimer, ou alors, en ayant un peu honte. Alors qu’il y a des Guerlinolâtres à qui on ose dire : c’est pour les vieilles cocottes embourgeoisées ou qu’on critique sans vergogne Lutens, l’Artisan, Goutal and co, avec Chanel, on n’ose pas trop. (Pourtant, il y a d’après moi, de vrais ratages et à la pelle : je déteste l’eau de parfum N°5, Coco Mademoiselle et tous les Allures par exemple…)