Chanel N°19
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Dans un livre qui analysait l’image des marques, il y avait peut-être une clef… D’après l’auteur Chanel était une maison qui exprimait le pouvoir et la conquête d’une femme seule, sans homme, sans famille, à l’image de sa créatrice et pas du tout la séduction, l’amour ou le désir. Ça explique peut-être le coté incisif du parfum ?
Mais ce qui est marrant, c’est que Chanel est l’une des rares maisons qu’on n’ose pas ne pas aimer, ou alors, en ayant un peu honte. Alors qu’il y a des Guerlinolâtres à qui on ose dire : c’est pour les vieilles cocottes embourgeoisées ou qu’on critique sans vergogne Lutens, l’Artisan, Goutal and co, avec Chanel, on n’ose pas trop. (Pourtant, il y a d’après moi, de vrais ratages et à la pelle : je déteste l’eau de parfum N°5, Coco Mademoiselle et tous les Allures par exemple…)