Chanel N°19
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Dans un livre qui analysait l’image des marques, il y avait peut-être une clef… D’après l’auteur Chanel était une maison qui exprimait le pouvoir et la conquête d’une femme seule, sans homme, sans famille, à l’image de sa créatrice et pas du tout la séduction, l’amour ou le désir. Ça explique peut-être le coté incisif du parfum ?
Mais ce qui est marrant, c’est que Chanel est l’une des rares maisons qu’on n’ose pas ne pas aimer, ou alors, en ayant un peu honte. Alors qu’il y a des Guerlinolâtres à qui on ose dire : c’est pour les vieilles cocottes embourgeoisées ou qu’on critique sans vergogne Lutens, l’Artisan, Goutal and co, avec Chanel, on n’ose pas trop. (Pourtant, il y a d’après moi, de vrais ratages et à la pelle : je déteste l’eau de parfum N°5, Coco Mademoiselle et tous les Allures par exemple…)