Aziyadé
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C’est le plus archaïque des parfums et pourtant, à ce jour, celui qui exprime le plus clairement son sens – le sacré – à travers le monde.
il y a 15 heures
J’abonde dans le sens des critiques ci-dessus et dessous. Par le Prophète (que son chemin soit(…)
il y a 5 jours
Pas trop vert, ni fruité ou trop fleuri... Je remballe le Cristalle et je dis un grand oui au(…)
Collection 2047
Lumière soyeuse
Faux classique
Bonjour,
Après vous avoir lu (beaucoup) et avoir hésité (longtemps), et bien qu’étant totalement néophyte, je me lance dans mon premier commentaire...
Comme le pseudo l’indique, Aziyadé est mon parfum préféré, mais, cruelle ironie, le seul au contact duquel ma peau développe... une allergie. J’ai bien essayé de vaporiser uniquement sur les vêtements : hélas, y’a pas à tortiller, c’est pas pareil... Comme je ne suis pas très raisonnable, je me "pschitte" quand même - par phases - et me résigne alors à l’éclosion de petites pustules incarnates que les manches longues et les décolletés pudiques viennent avantageusement cacher. Vous parlez d’une addiction !
Ce commentaire est aussi pour moi l’occasion de vous soumettre une requête (pardonnez-moi si ce n’est pas l’usage ni l’endroit...) : j’ai récemment acheté par hasard un diffuseur du parfum de maison Carmen d’Un soir à l’opéra... Coup de foudre. Depuis, je recherche un parfum (de peau) qui pourrait lui ressembler. Le site indique : feuilles de tabac, fleur de cassis, fleur d’oranger. Si vous avez des suggestions, je suis tout ouïe !
Je voulais enfin vous remercier pour toutes ces critiques et tous ces commentaires passionnants. Grâce à ces lectures, tout un monde s’ouvrit à moi il y a quelques mois, dans lequel mon obsession pour le Petit marseillais au lait prendrait une autre tournure, nommée Ombre rose, dans lequel Je découvrirais que mon parfum de prédilection des années 2000, Sicily, existait encore et comptait nombre d’adeptes, dans lequel tout un champ lexical abstrait - hespéridés, ambrés, chypres... - s’agencerait peu à peu en une délicieuse nébuleuse. Et dans lequel, donc, de nouvelles volutes viendraient traverser mon "imaginaire Aziyadé"...