Bel Ami
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Dilettante,
Un tout grand merci de m’avoir renseigné cet avis éclairé émanant du site Le Critique de parfum, que je visitais assidûment il y a longtemps. La parution d’articles, irrégulière et parfois trop espacée, m’a éloigné peu à peu de sa fréquentation, Auparfum, Fragrantica et Basenotes prirent alors le relais.
En parcourant les dernières critiques, je tombe sur celle de Rose Malaki de Chopard, parfum étonnant créé par Amandine Clerc-Marie il y a une dizaine d’années. Cette rose épicée (magnifique safran) est bien éloignée des roses orientales : la rose ici est portée par des bois secs, cèdre en tête, et vivifiée par des notes métalliques extrêmement toniques, parfum unisexe par excellence comme le sont Lyric Man et l’Opus X d’Amouage, l’Eau de Protection d’État libre d’Orange, Déclaration d’un soir, etc.
Senti à nouveau hier, Barénia décidément n’est pas pour moi. Les notes fruitées, dites de tête, s’éternisaient hier soir sur ma peau avec une obstination vraiment déplacée jusqu’à me paraître miellées. Bref, je ne comprends rien à cette nouveauté, le projet lui-même me semble obscur. Et d’émettre le souhait que la maison Hermès fasse appel à d’autres nez pour chacune de ses nouveautés.