Guerlain revisite Habit rouge et L’Homme idéal en éditions limitées très privées
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Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Quelques impressions (déjà postées ailleurs) sur ce nouvel Habit Rouge Privé.
Testé deux fois sur peau, et même avec un certain plaisir même si les notes de tête hespéridées, très joliment rehaussées de gingembre, se voient dans l’obligation de se fondre un peu vite dans un bain de cuir épais, profond, presque gras mais qui se peut se rendre addictif pour certains, oppressant pour d’autres. Chez moi la magie et l’émotion ne sont pas encore au rendez-vous. La lutte qui s’est installée entre les notes de tête, toujours excitantes chez Guerlain, et ce cuir viril et réaliste, s’avère un tantinet fatigante. Au bout du compte, on cherche le propos, du moins quand on a connu la belle époque d’HR et les superbes Dress Code. Ce n’est vraiment qu’au bout de quelques heures que le souvenir de notre cher Habit Rouge se ramène à nous et s’impose, semblant nous faire un clin d’œil.
Voilà un parfum texturé et de bonne facture qui mérite qu’on s’y attarde un moment. Mais je crains qu’il ne marquera pas les mémoires. Les cuirs ont envahi le marché mainstream depuis quelques années. N’est-ce pas Tuscan Leather de Tom Ford qui l’a repopularisé auprès d’une nouvelle clientèle, jeune, branchée, puis la Colonia Leather d’Acqua di Parma ? Guerlain avait lancé, à la suite des Absolus d’Orient, un Cuir Intense assez costaud qu’il fallait apprivoiser et qui pouvait s’avérer une réelle signature... Bien des décennies après son Derby, les Jules de Dior, Bel Ami de chez Hermès, etc.