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Cette nouvelle rose de Caroline Dumur est bien entourée dans son paradis : sa corolle se pare du duvet de quelques fleurs blanches, et le violet d’un iris cosmétique trouve son reflet dans le nuage poudré qui l’auréole.
hier
Rien ne prouve qu’R.B. soit Barjavel. Cela pourrait aussi bien être Robert Boulin, Ray Bradbury,(…)
hier
Bonjour, J’ai un flacon de 100 ml dans son emballage d’origine et encore sous cellophane à(…)
il y a 3 jours
Une très belle marque : on sent la qualité, indéniable, des matières revendiquées (qui ne sont pas,(…)
L’encens sans l’église
Collection 2047
Lumière soyeuse
Le triomphe des LVEB et autres parfums girly ne résulte pas du seul matraquage de spots publicitaires (pour ma part, d’une affligeante banalité, même si parfois bien réalisés), il est aussi la conséquence du travail (en est-ce un ?) des vendeuses en boutique qui ne nous vantent/ vendent que la nouveauté au lieu de nous guider vers des parfums plus subtils, classiques ou non, anciens ou non, qui valoriseraient le charme particulier de chacun et chacune d’entre nous. Un exemple : récemment je parcourais les rayons d’une grande parfumerie belge, type Séphora. La marque Loewe se trouvait rangée tout au fond de la boutique et en bas de rayon. Il y a pourtant de fort jolies choses qu’on nous garde bien de nous présenter, la série 001 pour ne citer qu’elle. L’absence récurrente de testeurs ou son non-renouvellement (ici, 24 Faubourg, la nouvelle gamme Courrèges et même L’Instant de Guerlain !) aggrave la situation. Plus catastrophique encore : Cartier n’est plus distribué en Belgique, même via les sites des deux grandes chaînes de parfumerie. L’offre se résume à la nouveauté, c’est-à-dire aux futures top ventes de chez Givenchy, Dior, Armani, Gucci, etc. à quelques classiques, relancés par d’innombrables flankers.
Désolant, n’est-ce pas ?