Jicky
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 18 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 18 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Pisse de chat & Jicky : je pense que la facette "pisse de chat" concerne les mauvaises versions.
La plupart des Jicky sont réussis, et par là, j’entends qu’ils sont équilibrés : on peut en mettre quelques pschitts en plus et le rendu restera civilisé.
J’ai de vagues souvenirs de versions moches de Jicky. Ce sont des tests en parfumerie autour de 2010 2015 (vieux testeurs ?). Je percevait parfois comme une facette proche de la sauge ou de l’armoise, qui ressortait sur un parfum ratatiné et sans fraîcheur. Évidemment, si on essaie de rectifier un tel parfum en mettant des pschitts en plus, c’est la cata. On accentue les défauts et les déséquilibres.
Ironiquement, ces facettes qu’on classeraient plutôt dans le "qui pue" font exactement le charme de "Yatagan" de Caron.
D’ordinaire on attribue la réaction "pipi de chat" au basilique, dans les parfums. Avec Jicky, on est hors sujet.