Avec Les Épures de parfum, Cartier met la nature en flacon
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 2 jours
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 5 jours
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 5 jours
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Le muguet : splendide, frappant de réalisme, le revers de la médaille étant une ténue tenue qui, à ce prix, fait réfléchir. Pour gaspiller mon pognon en bidules éphémères j’ai déjà les impôts, merci. Je continuerai donc à préférer Brindille de Galimard et Eau fraîche muguet de Rocher.
Le magnolia me déroute en n’évoquant pas la divine fleur de Magnolia grandiflora si fraîche, propre et hespéridée. Peut-être est-il inspiré d’une autre espèce. Cette absence de référence participe à me le rendre un peu foutraque, artificiel et synthétique (pas les "ingrédients", juste l’impression).
Le kinkan est hespéridé et pétillant. Pas un coup de drefou mais à approfondir.
Il existe aussi Pure rose : une rose puissante et moelleuse.
A 3,6 €/ml, quand même, ce quidam-ci hésite à se faire plumer pour agrandir la piscine des actionnaires de Richemont.