Néroli intense
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 3 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
C’est si vrai que personne ne sent de la mème manière : j’aime beaucoup la fleur d’oranger de Nicolai si reconnaissable mais sophistiquée, je lui reproche seulement de ne pas diffuser, de se développer en sourdine, mème si cette eau de parfum est persistante (une bonne partie de la journée sur ma peau qui malheureusement n’accroche plus les parfums). Par contre, après avoir lu l’avis de Petricor que je salue au passage, il me semble opportun de préciser que j’ai porté assidùment Narcisse noir à partir de 1995 jusqu’au moment où la marque a dans les faits supprimé le parfum (mais pas le nom) et je ne lui trouve aucun point commun avec Fleur d’oranger de Serge Lutens. Mon dernier flacon (que je conserve précieusement) est de 2005, je le trouve fidèle à ce que j’appréciais en 1995 et l’échantillon de Fleur d’oranger de Lutens m’a particulièrement déplu. Petricor a peut-ètre la chance de posséder un peu de Narcisse noir ante-1995 et il apprécierait éventuellement Cap Néroli, toujours de Nicolai.