H24, le nouveau masculin d’Hermès fait le tour du cadran
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
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Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Senti sur poignet cet après-midi dans un Nocibé où la vendeuse me l’a présenté comme une "fougère high-tech".
En tête, je suis d’abord surpris par un effet shampouineux un peu cheap, que je ne m’attendais pas à côtoyer un jour chez Hermès. Puis très vite une fraicheur verte banale s’installe qui me rappelle un quelconque Montblanc, avant de s’atténuer dans un fond boisé certes élégant mais déjà senti mille fois.
Au final, un boisé frais de plus, passe-partout, et donc une sortie terriblement décevante pour le premier masculin depuis Terre. J’ai décidément du mal avec ce que propose Christine Nagel au rayon homme, après une eau de citron noir déjà oubliée et une déclinaison de Terre selon moi inutile, ce nouveau lancement vient malheureusement confirmer mes craintes.
En écho avec germanomio, j’ai bien peur que ce soit ça l’homme urbain post covid : désincarné, hors sol, glaçant !