Vétiver
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 5 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Noir extrême n’a pas grand chose à voir avec Noir, à l’instar de Noir Anthracite qui sortira quelques années après et qui revisitera la fougère. Tom Ford exploite simplement le nom en sortant différentes fragrances qui explore chacune des univers distincts.
Avec Noir extrême, c’est plutôt la gourmandise qui est abordée, via un accord très doux, très velouté, construit à partir d’un dessert indien. Il n’y a plus le cuir qui caractérisait le Noir d’origine. Mais même si on sent bien le parfum calibré pour le séducteur nocturne et ténébreux, ce Noir Extrême - qui n’a d’extrême en fait que le nom - reste néanmoins très élégant.
Je ne suis en revanche pas grand fan de Grey Vetiver. Certes, c’est une version moderne du Vétiver de Guerlain, mais il perd en cela le supplément d’âme que possède son ainé, et surtout, il ne révolutionne rien. On dirait que Tom Ford s’est contenté de le plagier en ôtant simplement les notes plus datées (l’œillet en tête). A la limite, si l’on est gêné par le côté "vieille France", mieux vaut se tourner selon moi vers Vétiver extrême de la même maison qui, s’il n’apporte pas non plus grand chose à l’affaire , présente au moins l’avantage d’être beaucoup moins cher.