Rose & Cuir
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour à tous,
Je porte Rose et Cuir pour la première fois. Je rejoins complètement BMAIRE : il ressemble au Sillage blanc de Dusita. Mais la ressemblance n’est clairement pas en la faveur de Rose et Cuir. Celui-ci est plutôt "squelettique" : aucune opulence, pas de gras, pas de profondeur. On a plus l’impression d’un boisé sec, assez monolithique. Je reconnais : je ne suis pas séduite. Si l’approche très décantée de Jean Claude Elléna était heureuse pour Essence rare, je la trouve peu convaincante pour Rose et Cuir, surtout après l’expérience autrement plus exaltante du Sillage blanc. Il en propose une version vraiment très allégée : un jus tout en transparence, bien dans l’état d’esprit de son créateur visiblement toujours à la recherche de l’épure. Mais la frontière entre épure et sécheresse est parfois mince.