Profumo
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 23 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Merci pour vos conseils !
Alors avec Mitsouko c’est une longue histoire d’amour/ haine, étant restée bloquée sur la version des années 80 celle d’aujourd’hui m’écorche un peu les narines, à moins de m’en vaporiser comme si ma vie en dépendait. Ceci dit, en ce moment ça n’incommode pas grand monde alors autant se lâcher.
Je ne connais pas le Jubilation 25 mais ce que j’en lis m’a l’air alléchant.
Ces chyprés, décidément c’est une histoire sans fin. Attraction, addiction, on pense avoir trouvé le Chypre Ultime mais on finit toujours par en découvrir un autre, et puis encore un autre, et on tombe encore sous le charme...
Mais ce Profumo, j’avoue avoir pris une claque. Je ne l’ai porté qu’une seule fois (pas question de vider mon précieux échantillon) et depuis je n’arrive pas à m’en défaire, au point qu’à chaque parfum que je porte j’arrive toujours à en retrouver une note par ci par là, mais je pense que c’est mon cerveau qui est resté bloqué en fait ^^ .
Tiens c’est pas mal comme concept : "aujourd’hui j’ai piqué le Aqua Velva de mon coloc’ et j’ai l’impression de quand même sentir Profumo". Les pouvoirs magiques du cerveau humain... ;)