Eau, vin et maquis : l’héritage corse de Parfum d’empire
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 10 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Un tout grand merci, Passacaille, pour ces éclaircissements. À vous lire, on se dit qu’en parfumerie comme en art, tout créateur ne vend jamais autant qu’il le souhaite et surtout, autant qu’il le mérite. Qualifier M.-A. C. d’artiste, c’est le plus beau compliment qu’on puisse lui faire, même si modestement la majorité des parfumeurs veulent se définir comme chimistes, artisans, créateurs d’odeurs... Le moins que l’on puisse dire, c’est que la marque Parfum d’Empire se distingue de la plupart des niches par un nombre restreint de sorties, un jus par an en moyenne, mais de quelle qualité, de quelle inspiration ! Je ne boycotterai jamais cette marque si singulière ni son créateur dont j’apprécie le travail, sensible, poétique, à la vision aussi profondément terrienne, païenne que divine, des matières qui structurent ses parfums, et ne cesserai de porter au pinacle No sport, Belles Rives et le troublant Désarmant de La Parfumerie Moderne ainsi que Speakeasy de chez Frapin. En grand amateur d’immortelle, je me réjouis d’aller sentir prochainement celle de Corticchiato dont, petite folie, je ferai peut-être l’achat, Noël se rapproche à grands pas.